FOOTBALL : l’équipe de France remporte la Ligue des nations en battant l’Espagne (2-1)

France's players lift the World Cup trophy after winning the Russia 2018 World Cup final football match between France and Croatia at the Luzhniki Stadium in Moscow on July 15, 2018. France won the World Cup for the second time in their history after beating Croatia 4-2 in the final in Moscow's Luzhniki Stadium on July 15. / AFP PHOTO / Jewel SAMAD / RESTRICTED TO EDITORIAL USE - NO MOBILE PUSH ALERTS/DOWNLOADS

Longtemps malmenés, les Bleus ont réussi à renverser l’Espagne (2-1), ce dimanche, pour s’offrir le titre en Ligue des nations. Benzema et Mbappé, sur un but litigieux, ont encore marqué.

Assez largement dominée dans l’utilisation du ballon durant une heure, l’équipe de France a remporté la Ligue des Nations en battant l’Espagne (1-2), ce dimanche, en finale à Milan. Karim Benzema et Kylian Mbappé ont encore fait parler la poudre pour permettre aux Bleus de succéder au Portugal dans le palmarès de cette compétition.

Les Bleus entraient plutôt bien dans le match avec dix minutes d’intense pressing qui gênait énormément la première relance espagnole. Une entrée en matière intéressante qui aurait pu être récompensée sur une percée de Benzema qui ne trouvait pas Mbappé sur sa passe en retrait. Débutait alors une très longue phase de jeu ibérique. Très à l’aise techniquement, la Roja confisquait le ballon et se baladait entre les lignes tricolores avec une facilité déconcertante.

Une domination stérile, certes, puisque les Espagnols ne parvenaient pas à se rapprocher du but de Lloris, mais les Français ne proposaient absolument rien, passant leur temps à courir désespérément derrière le cuir. Cette physionomie de match se poursuivait jusqu’à la pause, bien venue pour les champions du monde, qui voyaient Varane céder sa place à Upamecano suite à une blessure sur un repli défensif. Une première période très pénible pour des Bleus qui n’ont pas vu la lumière.

Toujours baladés au retour des vestiaires, les hommes de Didier Deschamps se montraient plus agressifs. La paire Pogba-Tchouaméni devait même se dépasser pour tenir la baraque. Et pourtant, la France aurait pu prendre les devants sur une de ses rares incursions, mais Hernandez touchait la barre.