Un homme viole une femme « pour lui donner une leçon » après qu’elle l’ait dénoncé d’avoir créé un faux profil Facebook pour tromper sa femme

Un homme marié de 35 ans, père de deux enfants, a harcelé et violé une femme “pour lui donner une leçon” après qu’elle l’ait dénoncé pour avoir créé un faux profil Facebook dans l’espoir de trouver une maîtresse, d’après les informations du Daily Mail.

Adam Kelly, 35 ans, qui a avoué être accro au sexe, s’est fait passer pour quelqu’un d’autre en ligne dans l’espoir de trouver une maîtresse. Mais il est devenu furieux lorsqu’il a été interpellé par la victime après qu’elle ait reçu une photo pornographique de lui et qu’elle ait compris qui était l’expéditeur.

Selon le journal anglais, pour se venger, Adam Kelly a attendu la femme alors qu’elle terminait son travail, puis l’a attaquée près d’une ruelle à Burnley, dans le Lancs, un comté dans le nord-ouest de l’Angleterre. Il l’a traînée au sol en la tirant par les cheveux avant de la violer de force en lui disant : “Si tu dis quoi que ce soit, je te violerai à nouveau”.

La femme, connue sous le nom de Kelly, a d’abord gardé le silence sur son calvaire pendant cinq ans, mais elle a fini par se confier à sa famille et par appeler la police.

L’enquête a révélé que dans les moments précédant le viol, l’homme marié était tapi dans l’ombre, le pantalon défait et portant un préservatif, prêt à frapper.

Toujours selon le Daily Mail, M. Kelly a contacté sa victime “à l’improviste” en 2015 en utilisant un compte avec une fausse image de profil. Il a envoyé à la femme des photos de ses parties génitales, mais la victime a compris que l’expéditeur était Kelly et a repoussé ses avances.

Kelly a ensuite commencé à rôder devant son lieu de travail pour surveiller ses mouvements et, après avoir déterminé le chemin qu’elle devait emprunter pour rentrer chez elle, il s’est caché dans l’allée en attendant qu’elle s’approche avant de l’attaquer par derrière.

À la Cour d’assises de Burnley, il a été condamné à 16 ans de prison après avoir été reconnu coupable de viol par un jury à l’issue d’un procès. Il a admis avoir un “problème sexuel” mais a nié avoir commis des actes répréhensibles. Son casier judiciaire ne comportait aucune infraction antérieure, raconte encore le journal anglais.

Adam Kelly a également été interdit de contacter la victime en vertu d’une ordonnance restrictive et devra signer le registre des délinquants sexuels à vie.